A la base, les « pistes » ci-dessous sont constituéesde retours d'expériences et ne doivent pas être interprétées comme des remplacements des traitements conventionnels, mais seulement comme des compléments à ces derniers, avec lesquels ils sont habituellement compatibles.
En particulier, il est toujours recommandé d'en informer les médecins concernés, afin d'écarter tout risque d'interaction médicamenteuse, tout spécialement chez les enfants et les femmes enceintes ou allaitantes.
De même, toute substance active pouvant avoir des effets nocifs à terme, tout traitement prolongé au-delà de quelques jours devra toujours se faire sous la supervision d'un professionnel de santé compétent.
De façon imagée, une fois lancé, un cancer peut être vu comme un genre de « camion fou » que sauf exception, des traitements complémentaires - si bénéfiques puissent-ils être - ne peuvent suffire à arrêter à eux seuls ; et ce, même si la rumeur publique (ou Internet...) leur impute tel ou tel cas de rémission/guérison : compte tenu de la grande variété d'aspects très imbriqués de la question, il est toujours très difficile de « rendre à César ce qui appartient à César »...
Toutefois, une étude médicale norvégienne de 2008[1] montre qu'environ 22 % des rechutes de cancers du sein guérissent spontanément, et rien n'interdit de penser qu'il puisse en aller de même pour d'autres types de cancer ; en conséquence, un accompagnement approprié peut au minimum permettre d'espérer de meilleurs résultats : c'est précisément la vocation de cette page...
Parler du cancer comme on parle de la grippe est un abus de langage : contrairement aux maladies infectieuses, un cancer est spécifique à un individu, en particulier via son patrimoine génétique, et les éventuelles prédispositions correspondantes (par exemple, les mutations sur les gènes BRCA[3]) ; de plus, même chez un individu donné, il y a au minimum autant de types de cancer différents qu'il y a d'organes ; et au niveau de la planète, il y a donc potentiellement des milliards de types de cancer différents, d'où de sérieuses difficultés de traitement : pas de paradigme simple du genre « tel type de cancer => tel médicament », comme avec les infections ; tout cela a pour conséquence que :
sauf rares exceptions comme certains cancers associés à des virus (par ex., certains papillomavirus), un cancer n'est pas contagieux[4], du fait qu'une cellule étrangère injectée dans un organisme sera détectée et détruite comme telle quasi instantanément par le système immunitaire dudit organisme, quelle soit cancéreuse ou non ;
en conséquence, il n'y a malheureusement que peu d'espoir pour que soit un jour découvert un traitement médicamenteux unique permettant de guérir tous les types de cancer ; et si par extraordinaire cela devait se produire, il ne serait guère rentable en tout état de cause sur le long terme pour son fabricant, d'après une analyse financière de la banque Goldman-Sachs[5] : en effet, un patient guéri n'ayant plus besoin de traitement, le chiffre d'affaires correspondant serait automatiquement perdu pour le laboratoire pharmaceutique concerné ; par contre, un médicament permettant seulement aux patients de survivre sans guérir serait infiniment plus rentable, avec pour seule limite ce que ceux-ci pourraient payer ; ou pour le commun des mortels, ce que leurs assurances santé accepteraient de payer, sachant qu'aux USA, un traitement contre le cancer[6] peut coûter jusqu'à plus de 400.000 $ par an et par patient...
Et même quand les assurances santé acceptent de payer ces sommes exorbitantes, tout n'est pas rose pour autant : en effet, à enveloppe de remboursements constante, les assurances sont alors amenées à n'accepter de rembourser que des traitements moins onéreux - et donc habituellement moins efficaces - pour les patients concernés et/ou leurs autres patients ;
une chimiothérapie commence habituellement par un chimiogramme[7], c'est-à-dire, par des tests préalables pour déterminer à quels médicaments le cancer à traiter est le plus sensible (analogue de l'antibiogramme pour les infections) ;
en médecine non conventionnelle, tel ou tel traitement alternatif ou complément alimentaire, encensé pour les résultats qu'il aura permis d'obtenir sur une personne donnée, pourra malheureusement n'avoir aucun effet perceptible sur une autre (de façon similaire à ce qui se passe en homéopathie), du fait de la spécificité du « terrain » de tout un chacun ; il n'y a donc malheureusement pas d'autre solution que d'en essayer le plus grand nombre possible séquentiellement (pour savoir lequel à fonctionné le cas échéant), et de se fier à son instinct : est-ce que cela va dans le bon sens, y a-t-il une amélioration au moins ressentie, etc. ? Mais dans ce domaine, l'autosuggestion peut jouer à plein : il faut donc savoir rester - autant que faire se peut - serein, lucide, vigilant et patient...
Dans la grande majorité des cas, le traitement proposé en "première intention" en médecine conventionnelle sera chirurgical, tout particulièrement si le cancer n'est pas trop étendu (cancer "in situ", ie sans métastase) ; malheureusement, en particulier dans les cancers VADS[8] (ORL, etc.) représentant environ 20 % des cancers, un tel traitement aura toutes les chances d'être passablement "déstructurant" (sinistre euphémisme médical), c'est-à-dire qu'en plus de l'enlèvement de la lésion proprement dite, tout ce qui se trouvera autour à moins d'un ou deux centimètres sera également "concerné", comprendre, enlevé : le maxillaire (au moins en partie), les dents, les glandes salivaires, les ganglions, etc., voire une partie de la langue ;
de même, il sera à peu près systématiquement intégré un "évidement ganglionnaire" dans le "pack chirurgical" proposé, ce qui aura pour effet de supprimer les mécanismes de défense immunitaire correspondants, et d'interrompre définitivement la circulation lymphatique concernée, introduisant ainsi à vie le risque d'un lymphœdème[9], pouvant littéralement étrangler le patient ; et la "chirurgie reconstructrice" présentée comme le nec plus ultra de la médecine moderne ne sera au mieux qu'esthétique, c'est-à-dire qu'elle ne restaurera aucune des fonctionnalités des parties enlevées ; en particulier, du fait de l'ablation du nerf mandibulaire y passant, une ablation - même partielle - de la mandibule (maxillaire inférieur) entraînera habituellement une paralysie faciale sensitive et motrice pouvant s'étendre de la tempe jusqu'au coin du menton et au tiers antérieur de la langue du côté concerné ;
et un patient désirant refuser toute intervention chirurgicale se devra également de refuser toute panendoscopie : en effet, "les panendoscopies réalisées ne mettent généralement pas de nouvelles lésions cancéreuses en évidence"[10] ; par contre, une panendoscopie inclut habituellement une "biopsie ganglionnaire", terme (délibérément ?) trompeur recouvrant en fait l'ablation d'au moins un ganglion pour une étude anatomopathologique sous le microscope ; de même que ci-dessus, cette ablation aura pour effet d'interrompre définitivement la circulation lymphatique, suspendant à vie la même épée de Damoclès du lymphœdème au dessus de la tête du patient.
Donc, ne pas pas tenir pour définitif le premier diagnostic et surtout, le premier protocole de soins proposé, qui comme indiqué ci-dessus, est la plupart du temps chirurgical ; donc :
prendre un second, un troisième, … un énième avis médical ;
explorer d’autres pistes comme la radiothérapie et/ou la chimiothérapie qui peuvent être tout aussi efficaces, mêmes si elles ne sont pas exemptes de séquelles[11] non plus.
Sinon, toutes les pistes envisagées ci-après sont bien évidemment applicables à titre préventif, tout particulièrement en prévention de rechutes ou de récidives.
Lorsqu'un principe actif particulier est recherché, il est communément admis qu'il est préférable d'en utiliser la variante naturelle la plus complète possible, appelée « totum[12] » (si elle existe bien sûr...), en raison des effets adjuvants des autres substances présentes dans le produit naturel, par rapport au pur principe actif de synthèse.
Par exemple, on préférera habituellement prendre la vitamine C sous forme d'extrait d'acérola, le curcuma entier au lieu de la curcumine pure, ou le silicium organique sous forme d'extrait d'ortie ou de prêle plutôt que ses équivalents de synthèse.
Mais il y a des exceptions, en particulier la benfotiamine (vitamine B1 de synthèse), qui étant liposoluble au lieu d'hydrosoluble comme son homologue naturelle, est mieux stockée dans l'organisme (foie), au lieu d'être rapidement éliminée par les reins.
Les produits bio seront toujours préférables afin, d'une part, de limiter l'ingestion de pesticides, et d'autre part, de consommer des plantes ayant dû - en l'absence desdits pesticides - développer leurs défenses naturelles (alcaloïdes, terpénoïdes, phytostérols, etc.) réutilisables par l'homme ; en particulier, et même s'il faut relativiser ce genre de résultats qui peuvent être plus largement liés à une meilleure hygiène de vie, une étude publiée en 2018[13] portant sur environ 69.000 personnes en France montre que celles mangeant bio ont 25 % de cancers en moins que celles ne mangeant jamais bio.
Le jeûne hydrique[14] (voir aussi ici[15]) d'un à trois jours une à quatre fois par mois, pour le « boost » et la régénération du système immunitaire, complété par un jeûne[16] de 5 jours aux inter-saisons, pour détoxifier les émonctoires (foie, reins, etc.).
Un jeûne thérapeutique[17] la veille, le jour et le lendemain d'une chimiothérapie (soit 72 h en tout), permettant d'en démultiplier l'efficacité anti-tumorale à dose égale.
Leur efficacité semble due à divers facteurs, parmi lesquels :
le fait de limiter les apports en glucose[18] "affame" les cellules, et tout particulièrement les cellules cancéreuses, qui en sont bien plus friandes que les cellules normales ;
mais les cellules cancéreuses étant "déviantes", elles ont "fait table rase" de l'expérience accumulée par les cellules normales au fil de milliards d'années d'évolution, en particulier en matière de passage en "mode survie" en cas de "vaches maigres" ; en conséquence, même en cas de jeûne, les cellules malignes continuent à "se gaver" comme elles en ont l'habitude de tout ce qui passe à leur portée, en particulier des produits de chimiothérapie ; alors que dans le même temps, les cellules normales en "mode survie" en font une consommation minimale : une étude américaine de 2012 dirigée par Valter Longo[19] a ainsi montré que le jeûne un jour avant, le jour d'une chimiothérapie et un jour après, renforce considérablement l'effet de cette dernière, tout en diminuant les effets secondaires (chute des cheveux, nausées, fatigue, etc.) ;
Un jeûne thérapeutique de longue durée (ie, plus de deux ou trois jours) ne doit être effectué que sous la supervision d'un professionnel compétent, seul à même d'indiquer les précautions adéquates (per exemple, visite médicale préalable) pour la personne concernée ; en particulier, il est indispensable de prendre une supplémentation en vitamines et sels minéraux quotidiennement pendant un tel jeûne ; et une fois terminé, il conviendra d'augmenter pendant quelques temps la ration protéinique et lipidique à due proportion de la durée du jeûne, afin de « reconstituer les stocks » de protéines et de lipides du corps, en particulier au niveau des muscles et du cerveau.
En tout état de cause, jeûner est déconseillé pour un patient trop affaibli ou dénutri, son système immunitaire ayant besoin d'un minimum de ressources alimentaires pour faire son travail : une étude américaine de 2018[23] a montré que pour le cancer du sein non métastasé, la mortalité est augmentée de 41 % chez les femmes ayant une faible masse musculaire, cette surmortalité pouvant atteindre 89 % pour les femmes présentant en outre une mauvaise densité musculaire ; et même si cette étude ne portait que sur le cancer du sein, il en va probablement de même pour les autres types de cancer.
Il existe aussi le jeûne sec[24] pendant lequel aucune eau n'est absorbée ; son intérêt est de pousser l'organisme dans ses derniers retranchements, tout en mettant les reins au repos.
Toutefois, ce type de jeûne présente des risques pour la santé ; en conséquence, il ne doit être pratiqué que par des personnes ne présentant pas de pathologies sérieuses, en particulier, cardiaques ou rénales ; et encore plus que pour un jeûne hydrique, il ne doit être pratiqué plus d'un jour que sous la supervision d'un professionnel compétent, au moins la première fois.
Le yoga[43], la relaxation et la méditation[44] ; en particulier, les micro méditations au quotidien, dans le but de prolonger les moments de bien-être (après les repas, le thé/café, les discussions avec la famille/les amis, un bon film, une coupure pub TV, etc.), en ralentissant le rythme de la respiration et en se focalisant sur la sensation de bien être, pour l'approfondir et la prolonger.
L'hyperthermie globale[48] qui semble donner de bons résultats, mais qui est coûteuse et peu évidente à pratiquer en France ; en variantes plus accessibles mais probablement moins efficaces, le sauna[49], le hammam et/ou les exercices de sudation (éventuellement avec des vêtements de sudation ad hoc) ; cette approche présente en outre l'intérêt de favoriser l'élimination des toxines ou des toxiques, tels que les médicaments de chimiothérapie.
Le persil et la camomille[73], du fait de leur teneur en apigénine[74], un flavonoïde qui provoque l'apoptose (mort cellulaire programmée) des cellules cancéreuses.
Le klamath et la spiruline pour leur boost du système immunitaire : le klamath[76] plus particulièrement pour la régénération des cellules souches et la réactivation des lymphocytes NK, et la spiruline[77], plus spécialement pour la détoxication.
La vitamine C[78] d'origine naturelle « dans son jus » (acérola, par exemple), plus pour le « boost » de l'organisme et de son système immunitaire que comme l'arme anticancer absolue vue par certains, tels que le double prix Nobel Linus Pauling, décédé d'un... cancer[79] (certes à l'âge plus qu'honorable de 93 ans...) ;
toutefois, pour avoir une action réellement efficace sur le système immunitaire, les doses utilisées semblent devoir être très supérieures aux AJR de vitamine C communément admises (permettant seulement d'éviter le scorbut !), à savoir au minimum de l'ordre de 6 à 8 g par jour[80] ;
mieux, une étude de 2018[81] confirme ce que certains pressentaient depuis longtemps, à savoir que la vitamine C par voie orale en dessous de 10 g/j (!) est mal absorbée au niveau de l'intestin, qu'ensuite elle est utilisée principalement par le foie pour ses besoins personnels, et que seul le reste peut s'attaquer aux cellules tumorales ; en conséquence, il semble à peu près obligatoire de passer par des injections en intraveineuse à haute dose pour obtenir l'effet thérapeutique recherché ; celles-ci ne sont malheureusement pas disponibles en France, mais seulement dans d'autres pays comme l'Allemagne.
Si les "Vieilles Canailles"[93] chantaient "Pas de boogie woogie avant vos prières du soir"[94], en matière d'alimentation anticancer, ce serait plutôt "pas de protéines" : en effet, il faut faire de l'exercice physique autour de la prise de protéines pour que celles-ci puissent être stockées dans les muscles qui en sont le principal réservoir ; à défaut, elle seront converties en graisses par l'organisme.
Par contre, les cellules cancéreuses étant actives en permanence, elles seront les principales consommatrices des protéines en circulation dans le sang pendant le sommeil...
L'huile d'olive[95], à la base des régimes crétois et méditerranéen (cf. supra) ; en particulier, la consommation quotidienne d'huile d'olive réduit le risque de cancer du sein de 37 à 67 % suivant les sources ;
mieux, la combinaison d'huiles d'olive, de colza et de noix[96] à parts égales (une cuillerée à café de chaque huile à chaque prise) une à trois fois par jour, pour « une quantité optimum d'acides gras linoléiques et linoléniques (omégas 3, dont le cerveau est composé en bonne partie), indispensables à la prévention » des allergies, et plus généralement des inflammations, très fréquemment à l'origine des cancers (comme celles provoquées par le tabac pour le cancer du poumon, ou par l'alcool pour le cancer du foie).
Mais éviter toutes les huiles désodorisées, typiquement obtenues par chauffage : ce dernier ne peut que leur faire perdre, outre leur goût, une bonne partie de leurs propriétés.
De même, l'huile de coco[97] semble très efficace contre le cancer du côlon in vitro ; à nouveau, éviter les huiles désodorisées, qui ne peuvent qu'avoir perdu une partie de leurs propriétés ;
L'avocat[101], en particulier pour la leucémie myéloïde aiguë (LMA), et l'huile d'avocat ; en outre, il semblerait que son noyau[102] (et plus particulièrement son enveloppe) soit anticancer ; de plus, pris avec de la tomate, il multiplie par 4 le taux d'assimilation du lycopène[103] de cette dernière.
Les crucifères : choux, radis divers (mais aussi le cresson) ; en particulier le brocolis[106] et surtout ses pousses, consommés de préférence crus (mais tout le monde n'aime pas forcément le brocolis ou le chou cru...) ; et le radis noir[107], même si un médecin homéopathe a été radié[108] deux ans pour l'avoir utilisé sans envoyer aussi sa patiente à l'hôpital.
La combinaison de bicarbonate de soude[145] et de miel ou de sirop d'érable, comme permettant de neutraliser l'acidité résultant du manque d'oxygène dans les zones tumorales denses.
Éviter la consommation de boissons en bouteilles plastique[165] (y compris les eaux minérales), car ce matériau contient divers perturbateurs endocriniens (phtalates, bisphénols, etc.), c'est-à-dire, des substances ressemblant suffisamment à des hormones humaines pour tromper nos organismes et favoriser à ce titre les cancers hormonodépendants (sein, testicule, etc.) ; et ces perturbateurs endocriniens migrent dans la boisson, tout particulièrement si les bouteilles sont exposées à la chaleur ou au rayonnement solaire.
Plus inquiétant encore, la composition exacte des plastiques[166] employés fait l'objet d'une opacité savamment entretenue par les industriels concernés, au nom du « secret industriel » ; et seuls des hypocondriaques patentés pourraient y voir une volonté de dissimuler la présence d'additifs à l'innocuité douteuse...
Éviter les substances provoquant des inflammations chroniques (précurseuses de cancer) comme les statines[167] (anti-cholestérols), qui présentent en outre l'inconvénient de favoriser un certain nombre d'autres maladies chroniques, comme l'hypertension, le diabète, les pertes de mémoire, etc..
De façon plus générale, la prise d'anti-cholestérols ne semble pas présenter d'intérêt réel pour la santé, car en dépit d'idées reçues ayant la vie dure, ce n'est pas le cholestérol qui « bouche » les artères[168] (sa proportion dans les plaques d'athérome étant habituellement minoritaire), ce sont pour l'essentiel des tissus cicatriciels (épais et riches en calcium) qui se forment dans les parois des artères lors de la cicatrisation de micro-lésions dues aux radicaux libres ;
en cas de besoin, on préférera donc leur substituer un régime alimentaire sain, incluant des aliments/compléments naturellement anti-cholestérol[169].
Mais surtout, le cholestérol est vital pour nos organismes[170], du fait que :
il est LE transporteur de diverses autres substances essentielles, telles que les vitamines lipo-solubles, telles que la vitamine D ;
il est aussi l'ingrédient de base à partir duquel cette dernière se forme naturellement dans la peau sous l'action des UV, cette vitamine étant considérée comme favorisant la prévention d'au moins certains cancers[171] (cf. également supra) ;
il est enfin le précurseur d'hormones stéroïdes (en particulier, sexuelles...) dans l'organisme ;
en conséquence, il est donc vivement déconseillé de trop baisser son taux de cholestérol...
La cure Gerson-Kelley[175], assez discutée et très délicate à mettre en œuvre ; il est donc très préférable de la réaliser sous contrôle médical dans un établissement spécialisé : en particulier, les lavements multi-quotidiens, réalisés sans précautions, peuvent conduire assez rapidement à une déminéralisation potentiellement létale ; en tout état de cause, cette cure est passablement onéreuse, même faite à la maison : compter plus de 1.000 €/mois rien qu'en fruits et légumes bio...